La méditation marchée

Le Bouddha a dit : « D’abord je m’assieds là où je pratique, et je me tourne vers l’arbre, puis je fais kinhin. » On trouve-là, assurément, l’origine de la pratique de kinhin comme accompagnement de l’assise. Cette manière de pratiquer kinhin a été transmise en personne par T’ien-T’ung Ju-Ching  au fondateur de notre lignée il y …

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Textes japonais

Dôgen Eihei, Kesa kudoku et Den’e Kyûma Echû, Kesa no hanashi, 2000 Kyûma Echû, Kesa no kenkyû ,  1967 Kyûma Echû, Kesa to zazen,  2003 Matsumara Kaoruko, Funzoe no kenkyû, 2006 Sawaki Kôdô, Zendan, 1932

Textes anglais ou français

Deshimaru Taisen, Le livre du kesa, 1986, AZI Duncan Williams, The Purple Robe Incident and the Formation of the Early Modern Sôtô Zen Institution, 2009, Japanese Journal of Religious Studies 36/1 27-43 Faure Bernard, Quand l’habit fait le moine : The symbolism of the Kâsâya in Sôtô zen, 1995, Cahiers d’Extrême-Asie Filigenzi Anna, Gestures and …

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Kesa et dharma sont inséparables

Dans une certaine région où je me rendis, les moines eux-mêmes parlaient du kesa comme d’un “vêtement austère”. D’où leur venait cette notion de  “vêtement austère”, je l’ignore, mais cela faisait pitié de les voir se tromper ainsi. Bien sûr qu’habillé ainsi on ne peut pas aller manger un unadon ou rentrer dans un café. …

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Propos sur le kesa

L’origine du kesa Dans ce chapitre, je voudrais parler du kesa. Tout d’abord, pour commencer, parlons de son origine. D’après les sermons du Bouddha, le roi Bimbisara, qui s’était converti au bouddhisme, un jour qu’il parcourait une route à cheval, aperçu un disciple du Bouddha qui venait dans sa direction. Pour montrer son respect, le …

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Les jolies nonnes et l’étude du kesa

Vers cette époque, un de mes amis perdit son père et nous nous rendîmes à la cérémonie funéraire dans un temple appelé Kichidenji. Deux nonnes de l’école Shingon s’étaient aussi rendues à cette cérémonie. Elles étaient revếtues de kesa traditionnels de très belle facture. Ces kesa ressemblaient de manière remarquable à ceux que portait l’Abbé Fueoka et qui m’avaient tant fasciné